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Questions de classe(s)

Le temps de penser l’école du peuple

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Édito du numéro 121 des Actes de lecture, revue de l’AFL

« L’espérance de lendemain, ce sont mes fêtes »

Rutebeuf.

Maintenant que la salle d’attente du dentiste ne ressemble plus à l’antichambre d’un lieu de torture, l’attente paraît plus longue. Si ! le temps s’étend. On a même le temps de penser en feuilletant. A autre chose. De ruminer ou de pleurer sur une feuille morte. Peut-être même, le temps de travailler de la pensée.

Si, si ! le temps s’étire dans la durée. Le paléolithique commence vers 3 millions d’années. Une fraction infinitésimale de l’âge de la Terre. Les langues deviennent « évoluées » vers quelques dizaines de milliers d’années [1]. Interminable prise de conscience dans la salle d’attente. Puis la sédentarisation (le néolithique) s’établit vers
10 000 ans. Des sociétés s’ébrouent. Les premières traces d’écriture datent de plus de 5 000 ans. 200 générations. Un clin d’œil au regard de l’humanité. La libération de la main et les transformations rendues possibles font naître la notion de travail. L’évolution technique incessante se développe en même temps que progresse la faculté d’abstraction. Ainsi, ceux qu’on qualifie aujourd’hui encore de « primitifs », furent les bâtisseurs d’une culture orale riche à convoquer « des systèmes scribaux qui accompagnent la pensée quand elle se confronte à ses limites » [2]. Une fois installé sous le scialytique, on peut continuer la rumination intérieure à peine troublée par la conversation de l’homme masqué.

En ces temps reculés, le rythme du changement culturel était lent mais son rayonnement très large : quelle que soit la région du monde [3], un biface ressemble à un autre biface. L’arrivée de l’écriture, quelquefois sous la conduite de minorités lectrices, serviteurs lecteurs, scripteurs ou scribes, souvent plus acharnés que leurs maîtres et soucieux de compassion, signe l’accélération du progrès. Quoique ralentie par sa confiscation au service de l’inscription dans le marbre de la parole divine 4 et la fixation d’une pensée dominante, le travail a mené les langages puis, par l’écriture, les a affinés avec le concours bientôt du poète autant que du mathématicien, puis du philosophe et du physicien. Technique et culture, même terreau, même combat. Si la main, la préhension, a permis la transformation du milieu et peu à peu sa compréhension, l’écriture n’a pas accru la puissance intellectuelle, elle a augmenté ses capacités. « L’image, l’écrit permet à l’homme d’accéder au monde invisible où sa parole n’a pas cour » [4].

Sourire de l’arracheur. Bien des opérations qui font l’orgueil des sociétés au contact de l’écriture, comme l’érudition, le développement de l’esprit scientifique, l’édification des lois ou la capacité d’organisation, la mesure du temps mais plus sereinement le travail démultiplié de la pensée, résultent de cette technique intellectuelle.

On dit que l’intelligence humaine a évolué. Si, si ! l’horloge atomique utilise la pérennité et l’immuabilité de la fréquence du rayonnement électromagnétique émis par un électron. Et puis, on a le numérique… Encore faut-il ne pas se laisser perdre un instant devant le crétinisme télévisuel pour garder quelque scintillement de lucidité. Enfin si le monde est assez riche pour satisfaire les besoins de tous, il n’est pas avancé au point de pouvoir contrer la cupidité de certains. Ainsi la peine de l’homme à la tâche demeure malgré le progrès. Sourire de l’accapareur. Elle s’est vidée de son sens par rapport aux besoins humains parce que la production est consacrée au profit. C’est triste et pas joli. L’idée de l’épanouissement par le travail s’évanouit dans le quotidien rythmé par la nécessité de gagner sa vie. On dira aujourd’hui pour consommer. Sourire de l’agioteur.

Il n’est pas aisé pour l’enseignant, l’animateur, l’éducateur, mais aussi les parents, ancrés dans ce mode de vie, d’imaginer un quart de seconde que la pédagogie pourrait être autre. Pourtant, « quelque chose s’est profondément perdue dans le travail, qu’il importe de retrouver dès l’école si on ne veut pas faire des activités une comédie humaine où la formation des enfants se réduirait à les modeler comme futurs instruments de leur propre exploitation [5]. Il faut s’écarter du schéma de l’apprentissage du travail rentable. ça noircit le blanc de l’œil.

La nature de notre système éducatif est mise en débat sinon par les partis politiques ou les syndicats, mais quelque peu par un nombre restreint d’observateurs spécialisés, associatifs... Cela ne fait pas houler les foules. Malgré tout, on peut considérer qu’il y a, avec cet air de refondation, l’opportunité d’élargir la réflexion même si le sujet de discussion des experts convoqués s’est cantonné au paradigme de la transmission quasi exclusive des connaissances. Qui fait, du coup, de l’école un sanctuaire au service de la « pédagogie des éditeurs », même si, même si on invoque avec ferveur et, des années durant, l’égalité des chances ou l’ascenseur social tiré par deux escargots. Les fondements de l’école ne sont pas remis en cause. « Aujourd’hui, connaître n’est plus nécessairement synonyme d’accession aux savoirs explicites, c’est agir, opérer, transformer, prédire. » [6]

Comment l’école peut-elle agir dans la société pour retrouver son pouvoir éducateur et assurer la promotion de la réussite collective ?

« D’une part, pour créer un système d’enseignement convenable, un changement des conditions sociales est indispensable ; d’autre part, pour pouvoir changer les conditions sociales, il est indispensable d’avoir un système d’éducation convenable. » [7] Autrement dit, pour orienter l’enfant vers ce qu’il peut et doit être, il faut réorienter l’École avec toutes les bonnes volontés sans attendre d’hypothétiques changements politiques, sans attendre d’éventuels consensus ou autorisations administratives. Et il est indispensable de retrouver l’engagement citoyen. On remarquera qu’on est sorti de chez le dentiste. Quand, en 1548, Etienne de La Boétie théorisa la désobéissance civile, il écrivit : « Je ne vous demande même pas d’ébranler le pouvoir mais seulement de ne plus le soutenir. »

Suspension du temps... Comme le printemps, les enfants n’attendent pas et les escargots sont très désappointés. Certains grandissent dans le monde tel qu’il est, d’autres meurent de faim toutes les 5 secondes dans le monde tel qu’il est. Un enfant, un clin d’œil, un quinquennat. Le présent du futur reste gorgé d’attente.

Ces observateurs, décidément trop peu nombreux, se désolent aussi du manque d’attention à leur cause, à leur activité, et se voient souvent opposer par la gente éducative la même explication : « On n’a plus le temps. On n’a plus le temps de se plonger dans un livre « trop long », de flâner dans une rue ou dans un musée, de regarder un film de plus de quatre-vingt-dix minutes. Ni celui de lire un article abordant autre chose qu’un sujet familier. Ni de militer ni de faire quoi que ce soit sans être aussitôt interrompu, partout, par un appel qui requiert d’urgence son attention ailleurs… » [8] Et Ferré ajouterait : « Avec le temps va, tout s’en va… » Souvenons-nous que Kronos était très attaché à son épouse Anankè, la déesse de la nécessité et de la fatalité.

Il nous arrive aussi de penser comme si « les jours anciens avaient été meilleurs ». De parler imparfait avec désespoir. De croire que la lutte des classes est simplement imaginaire. Et qu’il est tellement plus facile d’espérer la paix sociale. Mais tellement plus illusoire, tellement plus dangereux ! Et puis ça enlaidit. Et de déplorer la vacuité culturelle ambiante et la disparition de l’innovation pédagogique.

« Pour des raisons diverses qu’il ne serait pas inutile d’analyser, notre expérience se développe dans une période de vide pédagogique national et international surprenant. Il y a trente ans seulement, notre pédagogie, si elle avait pris forme, aurait pu se confronter à une quinzaine de grands psychologues et pédagogues qui étaient l’honneur et la promesse d’une époque. » Célestin Freinet, s’exprimait ainsi avant de passer le flambeau, et constatait le vide intersidéral alors que pointait à l’horizon le printemps 68 [9]. Et de citer : « Decroly et ses centres d’intérêts, Maria Montessori et ses innovations pour la première enfance, Cousinet et son travail de groupes, Ferrière et son école active, Pierre Bovet, Claparède, Miss Pankurst et Washburne aux USA, sans oublier John Dewey, le théoricien d’une conception nouvelle de l’école, Wallon, Piaget, Dalcroze, Freud, Paul Gheel, avec le prodigieux cortège de grands penseurs qui, à l’époque suivaient de près nos travaux de mise en marche : Romain Rolland, Barbusse, Jean-Richard Bloc, Ghandi, Gorki, Tagore…

Comment et pourquoi ce feu dévorant qui nous encourageait et nous nourrissait s’est-il subitement évanoui, et la théorie psychologique et pédagogique vidée de l’esprit de ces prestigieux chercheurs ? Faut-il voir là le fait, peut-être, que les nouvelles générations se sont rendu compte qu’il était vain de suivre les voies du passé, alors que rien ne dessinait encore les voies de l’avenir ? Et serait-ce parce qu’elle s’est attaquée au problème éducatif dans son ensemble, et par un biais nouveau, selon des données non encore entrevues, que la pédagogie Freinet [10] seule, dans les perspectives actuelles, porte les espoirs du renouveau ? »

Quelle différence voyons-nous avec aujourd’hui, sinon que, avec les ans, c’est moi qui vous le dis, la situation prend un cours dramatique ! Je prends encore un moment pour lire Freinet. « …Nous avons démarré dans la misère de nos classes, avec des directeurs et des collègues qui nous tenaient souvent pour fous et illuminés quand ils nous voyaient brûler ostensiblement tout ce qu’ils adoraient, avec des inspecteurs qui se demandaient toujours – et un peu avec raison, reconnaissons-le – s’ils avaient le droit de nous laisser faire « nos folies » dans nos classes publiques, avec des parents qui n’avaient pas même idée que l’école puisse être critiquée et améliorée, et qui tenaient pour suspectes toutes nos nouveautés. »

Depuis ses premiers pas, l’AFL travaille sur le langage écrit. C’est par Écrire que tout commence… Ce doit être l’acte premier, celui qui autorise à explorer, forger, construire, enrichir toute pensée personnelle et autorise ainsi à prendre du pouvoir sur sa vie. On devrait mieux saisir pourquoi, en classe, le point de départ ne peut être qu’un projet d’écriture. C’est ce projet qui va imposer des textes extérieurs multiples et variés, réécrits, triturés... » [11] Le premier apprentissage (pour ce qui est de l’école) devrait commencer par la confrontation à l’écrit. Un texte dont on a besoin pour réaliser un projet, pour répondre à une intention ; un texte qui, s’il n’existe pas, devra être créé par le groupe lui-même. L’écrit, parce que comme l’oral, bien plus que des vecteurs de communication ou d’expression, sont des langages pour penser. Lors d’une interview [12] Noam Chomsky affirme que le langage est une faculté innée. Le journaliste termine l’entretien en demandant à Chomsky ce qu’il pense de l’affirmation soutenue par Claude Hagège, le chef de file français du courant de la linguistique fonctionnelle, selon laquelle le langage est avant tout fait pour communiquer : « Sans entrer dans les détails, je pense qu’il y a des arguments sérieux pour soutenir que le langage est « conçu » pour penser, et que la possibilité d’externaliser cette pensée n’est que secondaire. »

Les travaux de l’AFL ouvrent des pistes et les conditions susceptibles de favoriser l’usage théorisé des langages. « L’AFL se préoccupe depuis longtemps des recours au langage écrit comme outil de pensée et d’intervention dans le réel. Au cours de ces dernières années, le contenu de ses journées d’études s’est élargi des conditions pédagogiques et sociales de la maitrise de l’écrit à celles de l’ensemble des langages dont le développement complémentaire constitue, au contact du réel dans sa complexité, à tout âge et de manière continue, l’outillage fonctionnel de la formation intellectuelle. » [13] L’école du peuple, c’est l’atelier des langages inséré dans la vie locale. Et Jean Vial disait déjà à l’orée du 3ème millénaire que l’école a beaucoup plus à apporter les moyens d’accéder à la culture que le contenu de cette dernière : elle a à fournir les langages…

Lors de son congrès d’octobre 2012 à Lyon l’AFL s’est fixé deux objectifs pour les deux années à venir.

- contribuer à construire l’école du peuple en transformant le système éducatif. « Défendre l’école, c’est se demander de quelle promotion collective elle est l’outil, à quelle contre-éducation du monde elle participe, comment les dominés peuvent, avec elle, abolir la domination plutôt que d’espérer une place parmi les dominants, comment elle est un lieu de résistance permanente ne séparant pas la production des savoirs de l’implication présente dans la production d’un autre état du monde. Défendre l’école, c’est arrêter de laisser croire que ceux qui organisent à leur profit les inégalités sont les mieux placés pour décider des savoirs et de leur modalité de transmission qui, en toute neutralité, devraient permettre à ceux qui en sont les victimes, d’en abolir le principe. Défendre l’école, c’est renouer avec le combat oublié d’une école du peuple qui ne peut se confondre avec cette école pour le peuple dont les modalités, virtuelles ou non, étatiques ou non, masquent les objectifs réels ». [14]

- relancer le débat sur l’apprentissage de la lecture. Il est indispensable aujourd’hui de sortir de l’ornière qui depuis Aristote considère le mot écrit comme le simple enregistrement du mot parlé.

- L’AFL doit se mettre en situation de mieux communiquer, échanger, partager les pratiques, et travailler avec des partenaires pédagogiques, syndicaux, associatifs, politiques. C’est ainsi que Les Actes de Lecture co-organisera avec la revue N’autre école un colloque les 27 et 28 avril 2013 à Genevilliers. [15]

Chacun dispose chaque jour d’environ 60 000 secondes pour effectuer son quotidien. On doit pouvoir en consacrer quelques-unes à créer les signes avant coureurs d’une révolution éducative. Et regarder les gastéropodes rentrer chez eux en titubant de bonheur…

Michel PIRIOU

Pour s’abonner à la revue Les Actes de lecture

Au sommaire du numéro 121

éditorial

Le temps de penser l’école du peuple, Michel PIRIOU (Le fauteuil du dentiste comme lieu propice à la réflexion pédagogique) page 03

À PROPOS de... page 07

NOUS AVONS LU...

... Sales caractères (Simon Garfield), Vincent VOULLEMINOT page 11

... La fin de l’éducation ? Commencements… (Jean-Pierre Lepri), Jean-Marie KROCZEK page 12

LANGAGES

Langages, Mireille TEPPA (Une synthèse des travaux du groupe de recherche de l’AFL sur les langages) page 16

TÉMOIGNAGES ET RÉACTIONS

L’ouverture de l’école, Raymond MILLOT (Pour la refondation de l’école à l’ordre du jour, tenons compte des connaissances acquises lors de recherches-actions) page 28

DES ENFANTS, DES ÉCRITS…

Quand, en maternelle, le loup sort du bois ! Yvanne CHENOUF & Nadine LECLERE-DORIGNY (Se produire soi-même dans une production collective) page 37

Mario Ramos et l’infini, Yvanne CHENOUF (Hommage à l’illustrateur récemment décédé) page 51

BCD, le rêve instruit, Yvanne CHENOUF & Lucie BOUÉ (Quand une école se dote d’un tel équipement : heurs et déboires) page 56

Lecture

PIRLS 2011 : passer au révélateur, Thierry OPILLARD (Ce que révèlent véritablement les évaluations internationales) page 67

NUL NE PEUT DIRE (Une rubrique de présentations et d’analyses des ouvrages de l’AFL)

Des enfants, des écrits, la vie… la lecture jusqu’à 8 ans (Yvanne Chenouf, Guy Faucon), Séverine LACOURTHIADE page 78

L’enfant, le maître et la lecture. (Jean Foucambert) , Thomas PAGOTTO page 83

Notes

[11. Entre -100.000 et -60.000 ansce

[22. Eric Guichard, « Écriture : sur les traces de Jack Goody », compte-rendu d’un colloque consacré à Goody en janvier 2008 à l’ENSSIB, Villeurbanne.

[33. Et l’âge de Pierre !

[45. Anne-Marie Christin, L’image écrite, Flammarion l

[56. Tony Lainé, conférence publiée dans les numéros 276 et 277 de Vers l’éducation nouvelle, 1973.G

[67. Selon A. Dahan, historienne des sciences au CNRS

[78. Karl Marx en 1869

[89. Serge Halimi, Le Monde Diplomatique, octobre 2012Ta

[910. In Naissance d’une pédagogie populaire, Elise Freinet, Maspéro, 1968

[1011. En 2012, on ajoutera à coup sûr l’AFL !

[1112. Extrait de Langages, Mireille Teppa, p.16 de ce présent numéro. F

[1213. La recherche n°443 et le hors série n°50, août 2012

[1314. Mireille Teppa, op. cit.

[1415. Jean Foucambert, Editorial, A.L. n°70, juin 2000

[1516. Mireille Teppa, op. cit.

4 Messages

  • Cet article est rayonnant !
    Et les objectifs que l’AFL s’est fixé sont tout à fait louables et je m’y retrouve totalement. Mais, quels sont les moyens que vous vous donnez ? En clair, comment comptez-vous vous y prendre ?
    Si je comprends bien le propos défendu, cela passe par l’apprentissage de la lecture / écriture.

    Serait-il possible d’avoir accès aux notes de bas de pages, pour connaître la source des citations.
    Merci !

    repondre message

    • Bonjour,

      A propos de la manière de s’y prendre, l’AFL pense depuis des années à la mise en oeuvre de politiques territoriales permettant de faire de l’éducation l’affaire de tous... On entend souvent dire "l’école ne peut pas tout".
      L’AFL déborde largement les questions de la lecture de l’écriture et s’intéresse à l’organisation et au fonctionnement de l’école.
      Ce colloque pourrait permettre de croiser les idées de tous ceux qui pensent que le système éducatif doit être changé en profondeur. Il s’agit d’imaginer les transformations possibles au temps présent et dans les conditions du moment (la question des moyens ne doit pas être un prétexte à l’immobilisme), de réfléchir à la suite à donner pour s’organiser en utilisant des outils comme la recherche-action. Pour innover, il faut dépasser les paradigmes.
      Bien cordialement,

      Michel PIRIOU

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  • Le temps de penser l’école du peuple 30 mars 2013 11:16, par Al

    Question de classe mérite mieux que la réutilisation des éditos des différentes revues et organisations qui composent le site.
    Un intellectuel collectif ne se créé pas comme ça, ils devraient savoir ça à l’AFL.

    Courage !

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    • Le temps de penser l’école du peuple 7 avril 2013 11:42, par MPiriou

      Questions de classe et AFL ont décidé de publier sur leur site leurs éditos respectifs.
      Ils ont décidé aussi ce colloque avec l’idée entre autres de créer un intellectuel collectif qui dépasse leurs organisations.
      A bientôt au colloque !

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